Julien Beauvois-Mochot

Chanteur, parolier, comédien et voix-offNé à Paris en novembre 1979, il y vit ses dix premières années, dans le XVHe He He ème arrondissement entre Montmartre et le boulevard Barbès, une manière de découvrir que « Le monde est un village ». Après une première expérience dans un téléfilm à l'âge de huit ans,il poursuit à Nice puis dans la Drôme le théâtre pendant quelques années. Vers dix huit ans, à travers sa passion pour le reggae et le message de son illustre représentant Bob Marley, il découvre le chant, voyage quelques mois en Afrique de l'Ouest et écrit ses premières chansons. Son parcours l'amène ensuite à Montpellier au J.A.M où il apprend les rudiments de la technique vocale, de l'harmonie et du solfège avec notamment Christophe Lombard et Hervé Acknin.En parallèle, il est investi dans ses premiers projets de groupes et continue à incarner de petits rôles pour le cinéma ou dans des téléfilms.Suite à un stage dispensé par l'He NA en 2012, il réalise fréquemment des voixoff (documentaire, publicités,audioguide,...) et développe différents projets musicaux, étant tour à tour producteur, régisseur et auteur/interprète. Sans délaisser alors totalement le reggae, Djulius se tourne alors vers le groove, de la funk au hiphop. Finalement, son « retour aux racines » se manifeste par un projet d'adaptation de chansons françaises anticonformistes.He l écrit aussi quelques chroniques musicales pour Africultures.com, média qui met en lumière les expressions artistiques du continent africain et de la diaspora, l'occasion de passer de l'autre côté du miroir, une expérience éclairante...En 2015, il part plusieurs mois à Lyon suivre une formation de comédien où il travaille en profondeur sur le corps et saisit les enjeux de la construction du personnage sous l'oeil d'Alain Maratrat. Sa vocation artistique se nourrit de son désir de « donner du sens » en racontant une ou des histoires. Une histoire, dit-il, qui « soufflerait un bout de vérité, une pièce d'un puzzle dont on ne connaîtrait pas encore la forme finale. Pour peu que ça éveille chez les un(e)s et les autres, une justesse enfouie qui serait là, juste ensommeillée... » Show less «